Il y a énormément de saleté dans les métros, partout dans la ville, qui est associée à l'overtime. C'est-à-dire, des fois, on ne nettoie pas les cochons, les selles, la merde qui est partout dans les métros parce qu'on attend le temps pour faire de l'overtime. C'est volontaire qu'on laisse la saleté en place, qu'on laisse l'itinérance en place, parce que les policiers disent « Ah, je vais faire de l'overtime quand ça revient ».
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Ken Pereira - QUB
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