Simon Jolin-Barrette, après qu'une députée eut dit que le ton de son collègue était paternaliste

Simon Jolin-Barrette, après qu'une députée eut dit que le ton de son collègue était paternaliste
Mes excuses, M. le Président, d'avoir frappé sur le bureau. J'ai été pris d'une émotivité certaine, M. le Président, parce que je ne peux pas accepter, M. le Président, qu'on traite les parlementaires avec de tels propos.

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