Racisme : 4 matchs de suspension pour Maxim Lapierre

Le racisme, c'est un système de perception qui est pété, c'est l'équivalent d'un pneu avec un flat. Bref, t'es mieux de pas rouler longtemps avec une attitude de même parce que ton rime culturel va finir par se bosser. Ici, au Sportnographe, on a pas vu le geste de Maxim Lapierre, mais sacrament, de là à y donner 4 matchs, y'a toujours ben des limites. Y'aurait reçu quoi comme sentence si y se serait appelé Max The Rock ? Poser la question, c'est être cave pas mal.

Pis à part de ça, c'est qui Scott Nichol, hein ? Ben ici, on se trompe peut-être sur le véritable prénom de Ray The Sports, mais on connaît notre repêchage. Scott Nichol, c'est un joueur (genre) que le Buffalo a repêché en 11e ronde, au 272e rang, en 1993. Le gars, c'est pas un jambon, c'est un emballage de pepperoni Roma. Neuf rangs de plus pis on parlait du plus illustre inconnu repêché à vie par Canadien, soit Russ Guzior, un gars issu d'un collège militaire (eh boy) aux États-Unis. Dans mon livre à moi, tu peux fesser comme tu veux su un gars comme Nichol. Y'é pas à terre, c'est lui le plancher. Pis un plancher, c'est fait pour piler dessus.

Autre chose. C'est quoi cette idée de suspendre un gars qui a donné un semi-coup de salaud à un gars que finalement y'é blessé avec pas de séquelle dans tête ? La ligne nationale devrait s'inspirer de ce qui se passe dans vraie vie. Quand tu frappes ta femme, si tu la tues, tu va pogner 4

ans, mais si a survit, écoute, on te dit de pu recommencer pis l'affaire est ketchup, non ?

Bon, à part de ça, la vie, ça va ?

On reconnecte un moment donné.