14 janv. 2022
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Nathalie Elgrably, qui spécule

Et pourquoi nous limiterions-nous au conformisme sanitaire ? Les entreprises généreusement subventionnées et les décrocheurs n’imposent-ils pas aussi un fardeau financier ? Quant aux « irresponsables » qui polluent le cerveau de leurs concitoyens avec leurs opinions qui froissent la doxa, pourquoi pas une taxe sur l’anticonformisme intellectuel ? Après tout, ce serait simplement l’institutionnalisation de la cancel culture aujourd’hui si populaire.
Au nom de la pandémie, tout semble permis
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