Certes, ma liberté s’arrête là où débute celle de l’autre. Mais où s’arrête la liberté de l’autre pour que débute la mienne ? Chose certaine, respecter la liberté d’autrui n’implique en aucun cas l’abnégation de soi. Et comme l’histoire a montré que la liberté n’est jamais acquise, et encore moins inaliénable, il est insuffisant d’affirmer que nous sommes libres pour l’être réellement. Il faut inlassablement défendre ce bel idéal.

Vers un printemps canadien?