Il y a toujours le problème de la coopération avec le mal. C’est-à-dire qu’on ne peut participer à un acte qui provient d’un acte mauvais au départ. Donc, s’il y a eu utilisation de cellules provenant d’un fœtus avorté. Si on avait le choix, on prendrait le vaccin conçu de la manière la plus éthique possible. Mais, on n’a pas le choix.