22 mars 2013
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Mario Dumont, qui s'inquiète pour le vrai monde
Faudra raconter que tous les matins, y se levaient pis y’avaient pas le temps de planifier pis y’avaient pas le temps de penser à manipuler les médias pour dire, eille moi là, je suis fatigué, j’ai mal dans le dos, je travaille, j’ai fait les lunchs à matin, les enfants braillaient... faudra qu’on l’écrive un jour l’histoire du monde ordinaire, ces payeurs d’impôt là, c’t’eux autres qui vont payer la facture, c’t’eux autres qui ont perdu, mais on l’écrit jamais leur histoire eux autres.
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