Le Sportnographe olympique est né
À quelques semaines des scandales, des « Oh la la » de Jean-Paul Baert et des 4e places canadiennes, il est bon de prévenir nos lecteurs de notre position face à la couverture médiatique préconisée.
Donc, hier soir chez Norm, il a été convenu entre deux manches du Orioles et du Red Sox que Sportnographe serait aussi LA RÉFÉRENCE EN SPORT OLYMPIQUE : Un témoin attentif, les yeux des Jeux, un phare dans une pollution d’exploits. Déjà, l’équipe travaille d’un bon train afin de doter notre salle de travail des meilleurs outils disponibles sur le marché.
Leblond et TT aménageront les hyperliens pertinents pour suivre à la seconde virtuelle près les performances athlétiques et les prouesses médicales. Des sites références comme le nôtre (est-ce possible ?) mais de toutes provenances (ha ! bon) seront immédiatement traduits par Google afin de livrer instantanément le fond des histoires.
Fidèle aux traditions lui rappelant son enfance, Munger est passé à la bibliothèque emprunter des dictionnaires de sports. Malgré notre slogan, nous avouons honnêtement l’ignorance du dégagement refusé en hockey sur gazon. Meilleur-Aucoin aura la tâche d’interroger nos concessionnaires pour de plus précises précisions.
Le Baron s’occupera du ravitaillement : Des pretzels en forme d’anneaux olympiques, des croustilles aux saveurs exotiques et des bières de 192 pays débouchées selon la provenance des médaillés nous mettrons au diapason des émotions vécues par les champions. De dire Piquette : « On ne boira pas beaucoup de Molson Dry » ! Ha Ha ! Yvan continuera à suivre Canadien du bout des yeux au cas où il se passerait des affaires.
Un tel déploiement chez nous au Sportnographe n’a jamais été déployé auparavant. Pourquoi tout ça ? Parce que Despatie peut se fouler un ongle d’orteil, parce qu’un canadien peut se faire déborder à l’aile par une juge, parce qu’un sprinteur arrivera à courir 100m sous les 9,5 secondes sans se faire prendre les culottes baissées et surtout parce que les buffets du Mandarin ne gouteront plus jamais comme avant. C’est ça, le pouvoir des Jeux.
Quant à moi, j’aurai le privilège de résumer tout ça de façon quotidienne. J’ai d’abord cru en une conséquence pour mon manque d’ardeur dans mes replis défensifs, mais j’ai finalement compris l’importance de ma mission : Vous faire patienter le Canadien avant la grande 100e saison.
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