Le retour des belles petites choses

Hier, Canadien a démontré que les belles choses en forme de « garbage goals » qu’il avait laissé entrevoir pas plus tard que le match précédent, n’étaient pas que le fruit du hasard, ou une quelconque tentative d’épater la galerie. Non, le but rebut est bel et bien de retour, et venez pas nous dire que ça ne vous fait pas un petit quelque chose...

Sinon, pas grand chose à dire sur le match : Higgins n’est plus vraiment ce qu’il était et faudrait peut-être penser à le remplacer par Chipchura, Smolinski est vieux, et Tom Kostopoulos est comme on l’entrevoyait tous, la nouvelle tête de jambon du Sportnographe, à ne pas confondre avec « jambon toupie » (ça, c’est Grabovski).

On aimerait quand même parler un peu de l’animation. Pierre-et-Yvon nous ont semblé un peu mêlés à quelques reprises, l’un s’exclamant devant un but qui n’en était pas un, l’autre décrivant des choses qui n’en étaient pas (les choses n’étaient pas des choses, comprenez-vous ?). Pas que ce soit extraordinaire, les deux hommes nous ont habitués à de telles situations, mais on a peut-être une explication supplémentaire à celle de l’abus de hot-dogs : il y a des mouches dans la cabine RDS-HD.

D’autre part, vous aurez sans doute remarqué comme nous que Jacques Demers et Benoît Brunet avaient de la difficulté avec le masculin et le féminin. Et on ne parle pas d’hermaphrodisme ici. C’est que tous deux disent « une endroit », comme dans « une belle endroit » ou « à l’endroit précise ». Notre question est la suivante : est-ce que c’est Jacques qui copie sur Benoît, ou est ce que ce dernier a appris du premier quand il le coachait ?

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