La vraie histoire sur la vraie affaire

Après plusieurs demandes des lecteurs et autres personnes avec pas mal de temps libre, j’ai finalement décidé de vous donner l’heure juste sur la situation de « l’Affaire Roy », ou plus communément appelée au Saguenay, « l’Affaire Roy ».

On me demandait souvent, « mais toi Réal, toi qui a pignon sur rue directement dans le coin de où ça se passe, toi là, dis moi, dans ton fond là, pour vrai, t’en penses quoi de toute cette histoire qu’on appelle chez nous l’Affaire Roy ? ». Si on me demande ça, c’est qu’il faut savoir que je connais presque personnellement tous les protagonistes de l’histoire.

Effectivement, j’ai déjà foulé à quelques reprises le fameux centre Georges V, et j’ai même déjà marché sur le même asphalte sur lequel a roulé l’autobus dans lequel logeait le suspect. C’est pour vous dire comment je suis à même de mieux comprendre.

De plus, je connais personnellement Patrick, pour avoir possédé quelques cartes O’ Pee Chee de son année recrue en plus de l’hologramme McDonalds 1994.

Toutefois, et ce sera là le point central de toute ma conclusion, j’ai la chance et l’intime honneur d’avoir rencontré monsieur Pierre Cardinal en personne à plusieurs reprises, autant sur les terrains de golf du Saguenay-Lac-Saint-Jean, que sur la terrasse des terrains de Golf du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

La vérité, je vous le dis, réside encore une fois dans les mathématiques.

Sachant que Pâtrick (P), actuellement, doit montrer à la balance un chiffre environnant les plus pesants que bien du monde, et sachant que monsieur Cardinal (X) se met régulièrement des roches des les poches de ses pantalons de golf afin de ne pas partir dans le bois au tee-off du trou numéro 6  au Club de Golf de Chicoutimi à cause des bourasques, lui permettant même de résister à un vent de 30 à 40 km/h, nous pouvons donc conclure qu’en calculant que son poids X (estimé à 45 livres) additionné à celui de la roche Y est égal à la vitesse V (35 km/h) nécessaire pour le retenir au sol sachant que la force que deux corps exercent l’un sur l’autre est proportionnelle au produit de leurs masses et inversement proportionnelle au carré de leur distance, en considérant le poids de Patrick P (175 livres estimées + la quantité requise pour que le totale fasse plus pesant que bien du monde), il est alors évident qu’une tite taloche de Patrick peut faire beaucoup plus mal à un monsieur comme Pierre C. ce qui nous amène donc à conclure que le coupable est évidemment Pierre Cardinal lui-même qui aurait dû manger plus de steak frites avec des Jos Louis pour dessert plus Pepsi afin de pouvoir être plus à même de ralentir la course de la taloche du grand 33.

C’est toujours un plaisir de régler les problèmes pour vous.

NDLR : Notez que le Sportnographe a décidé de vendre son âme et de mettre un peu plus de pub avec des images et tout pour financer son pop corn "Choix du président". N’hésitez pas à nous envoyer vos commentaires à ce sujet (même s’il semble qu’en ce moment, l’adresse de courriel du Sportnographe est défectueuse).

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