Vous remarquerez en passant que ces bonnes âmes se gardent bien de pointer du doigt les ravages de la monoparentalité et des pères absents. Elles doivent être trop occupées à pérorer sur la masculinité « toxique ». Mais que faire quand les jeunes sont déjà criminalisés, glorifient la violence, se prennent pour des Noirs américains ?