C'est un des paradoxes de l’époque actuelle. On dirait que la gauche québécoise soutient systématiquement l’extrême-droite dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Et là on l’a vu avec le conflit entre les États-Unis et l’Iran. D’ailleurs y’a une espèce de presque mouvement en soutien au régime iranien qui s’est comme un peu manifesté de manière très informelle sur les réseaux sociaux.
Jérôme Blanchet-Gravel, qui tire des conclusions
