Jacques Brassard, qui estime que la gauche n'a plus de combat

Jacques Brassard, qui estime que la gauche n'a plus de combat
Faire en sorte que les classes laborieuses, que le prolétariat, retrouverait sa dignité pis des moyens de vivre correctement. Voilà. C’était un peu ça la gauche à l’époque. Mais aujourd’hui, des prolétaires, y’en a plus. Vous travaillez dans une mine, vous gagnez avec un peu de surtemps, au-delà de 100 000 dollars par année.

Discussion