J'accuse le 23 décembre...

C’est en direct du 23 décembre 1894 que vous parvient aujourd’hui cette chronique spéciale du Sportnographe Sport 24 heures de sports par télégraphe, à la quête du virus qui affecte Canadien chaque année à cette date fatidique et qui amorce le début d’un commencement de pas bon feeling pour le moral du Bleu-Blanc.

Je suis à l’heure même où j’écris de temps en temps quand j’ai le temps, alors que je me réveille un peu tout croche, ayant fêté plus que de raison comme y disent ici dans la vieille Europe, le départ d’un de nos bons amis, Freddy D. comme on l’appelle, chez le poste de police.

Pourquoi aller si loin alors que Canadien il est pas du genre à jouer en France et encore moins un 23 décembre 1894 ? En fait c’est seulement parce qu’on s’est trompé de calcul alors que l’algorithme développé par Leblond N. pour notre machine à vapeur s’est finalement révélé juste pas précis dû à de mauvais conseils de Jacques Demers. Donc voilà, mon voyage d’une semaine prévu en 1994, alors que Canadien était vraiment pas le même type de club qu’aujourd’hui, est tombé à l’eau. Mais comme on dit dans le monde du tourisme à voyager dans le temps, y’a toujours une occasion pour se reprendre.

Donc voilà, n’ayant pas oublié de traîner mon internet avec moi, j’ai fait quelque recherche sur Google et je n’ai rien trouvé de bon sinon que mon fameux chum Freddy D. est dans un sacré pétrin. Parait-il que c’est toute une affaire ce Dreyfus là. Comme quoi, en une semaine, on n’a pas le temps de vraiment se connaître. Enfin, il m’a quand même laissé un peu d’argent français, ce qui m’a permis d’aller prendre un bon verre de bière à votre santé chers fans de Canadiens. Et laissez moi vous dire que Paris, ça sent pas mal moins bon que dans le vestiaire du CH.

Je vous reviens sous peu. dès que je suis capable de trouver un ticket retour pas trop cher.

D’ici là, je poursuis mes recherches.

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