Faut vendre...

On pourrait faire semblant que ça va vraiment bien et parler de choses sérieuses comme par exemple le Magnifique et ses patins accrochés dans son garage deux portes ou encore vous jaser de la performance époustouflante du jeune Alexandre Ovechkin et son but en se roulant par terre mais le Sportnographe, son équipe de rédaction, ses membres du conseil d’administration  et ses actionnaires ne seraient pas honnêtes envers vous, lecteurs-lectrices canadiens-canadiennes. Le temps est à la panique et il faut réagir.

C’est pas beau Canadiens, c’est donc pas beau Canadiens quand on regarde ça. Nous, dans le bureau chef Division B, Section 3, attachés à Canadiens Secteur « Haute direction », connaissons pas mal toutes les coutures de Notre équipe et la conclusion fait aussi mal à recevoir dans l’ouïe qu’une entrevue avec Michael Ryder : Canadiens n’a plus rien dans son sac à surprise.

C’est pourquoi le Sportnographe, son groupe d’investisseurs, sa chambre basse et son conseil des ministres demandent à George Gillet de déclarer faillite, vendre ce qui reste et repartir la business sous un nouveau nom qui inspirera la confiance et le plaisir de jouer aux joueurs désabusés : Le Mario-Lemieux de Montréal. C’est notre seul espoir.

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