EXCLUSIF : L'algorithme de Sportnographe annonce la Stanley pour le bicentenaire de Canadien
Chez Sportnographe, nous sommes d’abord et avant tout des intellectuels. Comme dans sociologue, politologue et astrologue. Mais, comme si ce n’était pas assez, au-dessus de nos cerveaux d’experts règne la transcendance d’un algorithme servant à asseoir notre crédibilité sur du solide. Des exemples ? Le Carbonotron (voir en une de Sportnographe), cette manifestation parfaite énonçant dans un langage bien défini une suite d’opérations permettant de résoudre l’exécution des procédés répétitifs d’un problème singulier, soit le fuckâillage de trios de Canadien.
Autre exemple ? La prédiction effectuée par Piquette l’an dernier stipulant que Canadien finirait bon premier dans l’Est et ce, cross-checkant au passage tous les experts de même que Jean-Charles Lajoie.
Cette fois-ci, l’algorithme de Sportnographe en arrive à sa version 2.0 de développement et profite d’un nouveau langage lui permettant de prédire n’importe quoi dans un horizon T de cent ans, l’étalon de mesure de Canadien.
Paul Meilleur-Aucoin et Normand Leblond ont d’ailleurs travaillé d’arrache-pied pour vous offrir ce processus systématique de résolution d’un problème criant (À quand la prochaine Stanley pour Canadien ?) par un calcul logique d’envergure.
Et vous connaissez Leblond, outrecuidant comme pas un, ben il souhaitait vous offrir un algorithme séquentiel ou parallèle. Mais je lui ai dit : “Wow, sacrament, je comprend pu rien, Normand”.
Voici donc l’algorithme simple de Sportnographe intitulé Stanley Canadien 2108 en fonction duquel la preuve que la coupe s’en vient saute aux yeux comme un filet désert devant la palette de Lang qui slapshotte toutefois la rondelle 12 pieds au-dessus.
Ah oui. Au cas où vous comprendriez rien, c’est que tous les numéros retirés des jouteurs de Canadien, incluant celui de E. Roy, donne 200. Tout simplement inattaquables. Voilà ce que nous sommes.
On reconnecte un moment donné.
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