Échanger ses choux gras contre des jambons

Robert ne nous l’a jamais rendu facile. On dirait qu’il a une dent contre le Sportnographe. Dès qu’un joueur de Canadien devient le souffre-douleur favori des gars du bureau et par le fait même celui des medias de l’internet de l’information, Robert sent le besoin de s’en débarasser, et de nous enlever par le fait même un bon nombre de cyberblagues. Il pige direct dans nos choux gras.

Par exemple, lorsque Robert s’est fâché et a flushé Claude Julien, c’était la fin de la fin pour le préféré de la salle de rédaction, l’homme au tir sans avertissement, Pierre Dagenais. Nous avons donc à l’époque réeligné notre tir vers le chevelu José Théodore dont on se rappelle également les talents de gars qui arrête pas les rondelles. On connait la suite. José contre un jambon. Ce fut ensuite le tour du troisième amigo, Michel Ribeiro. Qu’est-ce qu’on a en échange ? Encore un jambon. Overall, ça fait 3 choux gras contre deux jambons. Un bilan négatif pour le Sportnographe.

Robert vide le club. Et il le vide en pas pour rire. Robert avait la possibilité à la fin juin de recruter des bons joueurs, ou au pire, des joueurs facile-à-rire-de. Bin non, encore et toujours des jambons. Et des jambons qui coutent cher. On dirait que Robert a ramassé les choses les plus moches qui traînaient au chemin le 1er juillet.

Mais ne vous inquiétez pas, le Sportnographe ne se laissera pas faire de même, et ce, même si Canadien est rendu un club de jambons moyens au potentiel de joke moyen.  Il invite donc tous les jambons de Canadien à parler le plus souvent possible aux medias afin de nous donner du contenu à nous et à toutes les radios sports qui auraient par hasard besoin de parler de canadien 24 heures sur 24 (sauf quand c’est monsieur Fabi).

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