Comme un Bye-Bye des deux dernières semaines
Vous le savez, on a les moyens qu’on peut. Ou qu’on veut. Oui, c’est vrai, on aurait pu déployer beaucoup d’énergie et dépenser autant d’argent afin de pondre un grand spectacle de type revue de l’année sportive avec des invités comme Jean-Charles Lajoie, Maxim [2] Martin, Gilles Latulippe et la fille qui campe le personnage de Roxy à la télé de Radio-Canada, mais qu’on sait pas c’est qui vraiment dans la vraie vie. Bon, paraît que c’est une humoriste, ce qui explique sans doute pourquoi on sait pas c’est qui mais qu’on l’aurait voulu dans notre revue de fin d’année. Munger la trouve belle, ce qui représente une autre raison.
Or, plutôt qu’un tel spectacle, nous avons demandé à Pierre Trudel de nous pondre une autre édition de sa fameuse portion Trente fréquences seconde. Ça donne un Bye Bye des deux dernières semaines de l’actualité sportive. Coudonc.
Au menu, un paquet d’affaires, comme dans : “À Noël, j’ai mangé un paquet d’affaires chez ma tante Diane et ses sandwichs au tofu m’ont levé le coeur.” Végétarien ne veut pas dire avec pas de goût. Mais Pierre a du goût, soyons clair. La preuve ? Il nous parle de Julie Couillard, du Viagra, du CIO, de Laraque, du sourire “Ken Linseman” de Guy Carbonneau, de Ben Brunette, de deux sous-sports, en l’occurrence le football et le 100 mètres, de deux sous-joueurs, en l’occurrence Latendresse et Kostopoulos, et formule une demande spéciale au Sportnographe pour l’an prochain en prévision du match des étoiles qui aura lieu à quelque part, mais pas à Montréal.
Enfin, il nous traite à travers son chapeau de go-gauche caviar. Nous nous contenterons d’ignorer pareille ineptie, car la vérité fait mal à entendre, surtout venant de la bouche d’un aîné.
On reconnecte un moment donné.
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