38 citations qui ont fait la décennie sportive

Vous l'attendiez avec impatience, voici le top 38 des citations sportives de la décennie. Une décennie marquée par des évidences évidentes, des expressions inventives, une syntaxe imaginaire, l'anatomie humaine revisitée et une redéfinition des concepts d'espace et de temps.

En passant, vous retrouvez ces citations et plus encore dans le livre à succès "Dans mon livre à moi", disponible chez tous les bons libraires.

Voici donc les 38 citations qui ont fait la décennie sportive.

«Des buts gagnants, ça en prend pour gagner.»

David Desharnais (2015)

«Ça prouve une chose: les matchs doivent être joués au complet avant qu'ils soient complétés.»

Pierre Houde (2013)

«Faut que t’ailles un bon bâton, aujourd’hui que ce soit partout sur la glace, faut que t’ailles un bon bâton, puis, bâton sur la rondelle, parce qu’aussitôt que tu touches le gant, que ce soit avec une main sur le bâton, peu importe, c’est une punition automatique, alors tsé faut garder le bâton sur la glace, puis tsé, les bonnes équipes défendent bien quand ils ont un bon bâton sur la rondelle.»

Claude Julien (2018)

«On va t’être clair qu’on s’attend plus que lui, puis, je suis certain, convaincu, après ma conversation avec, qu’il s’attend de lui-même de mieux.»

Marc Bergevin (2016)

«Quand t’as un jeune défenseur là, ta lèche est courte. C’est normal. Un PK, un Markov, la lèche est plus grande, c’est normal. T’as un plus grand, un biggest sample to voir c’qui font.»

Marc Bergevin (2016)

«Y'est épais. C’t’un gros joueur de hockey, alors l’épaisseur du joueur est vraiment intéressante.»

Marc Bergevin (2016)

«Si cette histoire-là, ç’a été un bateau monté pour un contrat de publicité… C’est épouvantable et j’aurai tout vu dans ma carrière d’être humain.»

Mike Bossy (2017)

«Justement, c'est de la musique à mes yeux.»

Michel Bergeron (2013)

«Faut que tu prennes ton gaz égal, laisser un peu la soupe chaude retomber.»

Mario Tremblay (2012)

«Eux, c’est un peu, tsé, le p’tit cousin roux qui arrive dans le party, pis y’a personne qui veut y donner une sandwich.»

Bob Hartley (2018)

«Je sais pas si c’est historique ou si ça fait partie de notre adrénaline, mais à quelque part, lorsqu’on joue contre les Bruins de Boston, le Canadien vient toujours à bout de se dépasser.»

Réjean Houle (2014)

«Alors là où se situe l’organisation des Sénateurs actuellement, c’est vraiment le futur est à venir.»

Alain Sanscartier (2019)

«Faut pas t’oublies. De toute façon, la devise du Québec, c’est «Je me souviens». Donc faut se souvenir du match de demain et apprendre de ce match-là.»

Michel Therrien (2016)

«Demain, on sera de retour de 10 h à midi, merci d’avoir été à l’écoute, pis demain, ben demain, même jour même poste.»

Georges Laraque (2018)

«Dans la vie de tous les jours, 15 ans, c’est long.»

François Gagnon (2013)

«C'tun gars, y'est brillant, mais dans tête, c'est pas fort.»

Gabriel Grégoire (2012)

«Il est rétrogradé au 4e trio, mais moi, je vois ça comme une promotion vers le bas.»

Denis Gauthier (2013)

«C’est pas à cause qu’il a été prophète de discipline dans la ligue pendant trois ans.»

Gilbert Delorme (2015)

«Ç’a fait mal hier soir, je sympathise avec vous parce que moi aussi, devant mon rétroviseur, je regardais ce match et j’étais nerveux.»

Patrick Lalime (2019)

«Jean Béliveau était aimé d’un Atlantique à l’autre, il aurait été parfait pour le rôle de gouverneur général.»

Bertrand Raymond (2014)

«Subban, y’a un caractère, y’a de l’enthousiasme, c’t’un Jamaïcain d’origine. C’est un Italien. S’cuse-moi, un latino comme nous autres.»

Jean Perron (2011)

«Souvent, on va essayer de déjouer notre adversaire, on va essayer de le sortir de son camp de concentration en lui lançant des insultes.»

Jeremy Filosa (2014)

«En même temps, si les gardiens de but portent un équipement assez volubile, c’est parce qu’on veut avoir avec assez de volume, on veut les protéger.»

Enrico Ciccone (2015)

«Jamie Mata est devant un filet plus ouvert qu’une monoparentale trentenaire dans un 5 à 7 après deux coupes de rosé.»

André Roy (2019)

«Je me mets dans les fesses de tout le monde qui sont dans leur voiture en ce moment, pour nous écouter.»

Mike Bossy (2017)

«Ça m’a donné le coup de pouce dans le derrière pour dire, j’irai plus faire ce genre de sacrifice-là.»

Alex Tagliani (2016)

«On veut aller chercher une plus grande prise de vitesse avant d’arriver au virage 14. Cinq fois le point G ici. La force G. La force G, pardon. Cinq fois la force G.»

Nils Oliveto (2018)

«Shane Doan qui s’est vidé le sac hier dans une station de radio de Phoenix… euh… qui a vidé son sac, qui s’est vidé le coeur.»

Charles-André Marchand (2011)

«Pour vrai, à la fin d’une game, tes oreilles sourcillaient.»

Georges Laraque (2017)

«En tout cas, ça se sent à l'œil.»

Mario Langlois (2012)

«Je te jure aujourd’hui que moi et ma femme, on braillait comme deux madones. Je te parle encore de ça aujourd’hui et j’ai des frissons partout sur le corps… et n’oubliez pas non plus qu’il a été blessé à un œil. Justin Williams de la Caroline avait frappé l’œil de Koivu, donc avait détaché la ratine de son œil.»

Mario Tremblay (2014)

«J’ai lancé une perche à Pierre Rinfret pis ça a marché, il a mordu dedans à plein nez.»

Georges Laraque (2015)

«Mike Richards m’avait appelé pour me tâter la perche.»

Simon Gagné (2014)

«Moi, je pense que ce sera Patrick Roy. Mais ça me surprendrait pas qu'il y ait une surprise!»

Patrice Brisebois (2012)

«Ça me surprendrait, mais je ne serais pas surpris.»

Mario Tremblay (2016)

«Je m’attendais à ce que Washington gagne, mais je suis pas surpris que Tampa ait causé la surprise, mais c’est la façon dont la surprise a été causée, qui vraiment pour moi est étonnante.»

Denis Gauthier (2011)

«À 4-0 là, ils ont donné tout ce qu’ils avaient à donner et regarde, ç’a failli fonctionner. Tant que c’est fini, c’est pas fini.»

Patrice Brisebois (2016)

«J’sera pas là pour cinq dix ans, c’est fini en quelque part… la seule chose qui n’est pas finie, c’est la fin. La fin sera jamais finie, là je vais la finir. Mais à quelque part ce sera jamais fini.»

Stéphane Ouellet (2011)

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